domsoum

Le Phénix ne conclurait donc pas sur un plan avorté et l’occasion faisait le Larron :

-          Tu es vraiment incorrigible, lèves toi  !

Le Phénix davantage amusé qu’agacé par ce rebondissement d’un jouet qu’il pensait pourtant avoir réussi à bien ‘fort-mater’,  quitte sa chaise en lui tirant sur le collier de cuir pour le mettre également debout. Il l’entraine toujours mains menottées par devant vers le palan dans la pénombre. Il le fait agenouiller le temps de remettre en place sa table de bondage, puis il lui obstrue la bouche d’un bâillon qui le réduit à nouveau au silence, avant de lui faire reprendre place comme au début de journée sur la table des tortures , allongé sur le dos. Le Viking serre les dents surtout car il s’en veut non seulement de risquer regagner sa chère Normandie tardivement, mais surtout, convaincu que ce ne sera plus cette fois le simple ligotage de démarrage, il ne sait absolument pas maintenant ce qui va advenir de lui. Mais comme vous, Il va vite comprendre.

Le Phénix s’est emparé d’une bonne corde pour lui immobiliser les pieds dans ses bottes contre le bord de la table. Et tandis qu’il fait redescendre le palan à moins d’un mètre à l’aplomb de son poitrail,  il commence à le dépouiller de sa combinaison bleue en ouvrant tout simplement les 2 fermetures à glissière jusqu’en dessous des genoux pour accéder à l’intimité du viking. A l’aide d’une paire de ciseaux, son caleçon initialement lardé de quelques coups de cutter, part immédiatement en lambeau pour mettre à nu les attributs du soumis  qui lâche un grognement de surprise étouffé sous le bâillon. Une gifle soft du Master lui fait comprendre qu’il est trop tard pour demander grâce, car celui-ci enroule déjà ses couilles avec une corde épaisse sans trop de ménagement. Après plusieurs tours sur ses testicules  il les solidarise avec sa verge  avant de nouer la longueur restante sur le crochet du palan qui est bientôt mis en action pour hisser légèrement le pauvre prisonnier. Celui-ci ne peut retenir quelques gémissements d’une légère douleur mêlée de surprise, mais il est fait comme un rat. Et même si le haut de son corps reste libre en dehors de son visage muselé dans le harnais + bâillon, tout mouvement reste vain, suspendu par le service 3 pièces, jambes immobilisées et mains menottées.

Pour le coup, le Phénix n’a mis que 5 bonnes minutes à réduire sa proie à l’impuissance, au point de lui laisser penser que c’était de doute façon prémédité. Au moment où il achève le bondage en lui levant les mains à la verticale pour que le crochet du palan vienne parfaitement se loger entre ses 2 poignets menottés, cela génère une légère tension supplémentaire sur la corde reliée à ses bourses. Dans cette fâcheuse posture le bondé ne cherche plus à lutter de peur de trop souffrir de ses nouvelles entraves et il capitule en s’efforçant de trouver la plus confortable position.

Le Master a abandonné son jouet une nouvelle fois pour finir son travail. Son slave non loin du supplicié est toujours aussi indifférent à la présence de la pauvre victime qui cherche par moment à relever sa tête pour vérifier qu’il est encore entier car, il ne sent plus vraiment ce qu’il possède entre ses cuisses. Il tente d’utiliser ses bras ancrés au crochet du palan pour se redresser et soulager la tension de cette maudite corde, mais bien au contraire cela entraine la suspension du palan davantage vers sa tête en l’éloignant de la prise sensible qu’il voudrait soulager davantage avant que la douleur ne devienne intolérable. Depuis une dizaine de minutes, le master est maintenant occupé au téléphone avec son client, probablement le propriétaire des lieux, et la situation n’a pas évoluée malgré les tentatives du Viking à attirer en vain l’attention du slave à moins de 3 mètres. Il lui semblait pourtant que celui-ci avait jeté plusieurs fois un œil sur lui,  mais sans intervenir d’aucune manière.

Par 2 fois, le viking avait réussi à se redresser presque en position assise  au moins 30 secondes ou 1 mn pour montrer qu’il ne pouvait plus sagement  supporter la position allongée. Le master avait raccroché avec son interlocuteur et revenait vers sa proie observée excessivement agitée.

-          Bondage des couilles tu disais ?  Ba voila !  il suffisait de demander mon garçon, et ton vœu est exaucé !  Ca te convient ?  Autre chose encore à proposer peut être ?

-          QUEUE du Bonheur ! se mit à commenter alors le slave pendant que le Phénix  ôtait le bâillon de son prisonnier pour connaitre la réponse.

Mais le Viking avait bien son compte, avec cette fois un plan bien plus hard, puisqu’ il avait franchi la frontière du SM ! Ayant déjà gouté par le passé à quelques expériences du même ordre quoique plus courtes  et plus soft, il se savait trop sensible de ce coté là, et tout en appréciant  ce retour de boumerang à avoir voulu user d’humour à ses dépends, l’intrépide viking était rassasié de cette énorme journée de bondage en tout genre

De toute façon le Phénix devait bientôt quitter son chantier pour se réapprovisionner en matériel.  La liberté semblait donc réellement poindre dans une ambiance plus détendue,  à tout point de vue, au fur et à mesure que le Phénix retirait les dernières entraves du Viking. Celui-ci lui confessait humblement avoir vraiment passé de sacrés moments de plaisir tout en ayant parfois quelques doutes à ne plus maitriser les évènements. Son Master confirma que c’était bien ainsi qu’il aimait bonder des mecs qui savent assumer sans discussion, tandis que son slave ajoutait : Sinon quel  intérêt pour un bondé de ne pas repousser un peu ses limites ?

Le viking enfin libre quittait sa tenue de chantier et reprenait ses vêtements civils avant de partager enfin un verre de coca. Puis il reprenait son sac bondé de toutes ses affaires et se faisait raccompagner à la sortie avec un profond soulagement de liberté à quitter le donjon. Mais c’était bien la Prison du Bonheur qu’il quittait euphorique en invitant le slave qui tenait la porte ouverte à une bonne poignée de main. Le Master sortait aussi avec le Viking sur le trottoir éblouissant de lumière par cette chaude journée de début Aout. Le temps d’une CORDE DIALe poignée de mains en vifs remerciements à MASTERPHENIX qui promettait de lui retransmettre ultérieurement un retour en image de ce que le viking n’avait vécu que de l’intérieur et chacun regagnait sa voiture  en guise de  ‘The END’