domsoum

Grand Merci à Domi ,

patron du blog pour sa confiance a me laissser déposer moi même mon article et prochainement la suite 

Merci aussi pour son indulgence et pardon aussi d'avoir tant tardeé à relater ce qui arriva au Viking ce 9 AOut 2012, car  contrairement à ce qu'il avait promis ds les jours qui ont suivi cette fabuleuse journée, l'intrépide préféra cet été continuer à aller courir les lièvres Bondeurs et Bondés plutot que de respecter la curioisté des lecteurs....

Alors sans davantage de bavardage,  voici ce qui lui arriva

Ce jour J (comme jeudi), 7h15, le viking consulte une dernière fois sa messagerie pour s’assurer d’aucun contrordre avant de prendre la route pour Paris. RAS… Il adresse un dernier message avant son départ imminent en estimant l’arrivée vers 10h, puis il part au moment même où le Maitre ouvrait sa messagerie pour accuser réception !  donc tout est OK  …

Paris au mois d’Aout c’est cool sans encombrement de circulation, ni stationnement payant, aussi notre soumis arrive à destination une bonne demie heure à l’avance - un bonus de temps supplémentaire !-  Il  sort du coffre de sa voiture, le sac à dos renfermant depuis la veille la tenue complète exigée par le Phénix et un appareil photos dans l’espoir de pouvoir conserver quelques souvenirs inoubliables avec la faveur du Maitre. Mais, ce sera un refus catégorique du Phénix à qui l’on ne doit rien imposer, car c’est avec son propre matériel qu’il décidera de ce qui est bien ou pas à immortaliser!

Le viking qui s’attendait davantage à un appartement en réfection, arrive  à la porte d’un commerce sur lequel on peut lire ‘fermeture pour travaux durant les congés du propriétaire’. Dérouté par l’entrée mystérieuse de l’endroit, l’adrénaline l’envahit vertigineusement devant l’énigmatique donjon habituellement bien adapté au libertinage. Mais plus question de repartir ; Il n’est pas novice et n’est pas venu jusqu’ici pour détaler maintenant sans justif valable ! Alors il compose le numéro du Phénix qui répond sans tarder, puis la porte s’ouvre : le Maitre fait 2 tours de clé pour ouvrir la grille de sécurité, puis fait signe d’entrer.  L’atmosphère devient de suite envoutante : Dans une ambiance feutrée par une lumière tamisée transpercée de quelques spots sur des murs de feutrines quasi noire, un ouvrier s’affère sans prêter la moindre attention au visiteur. Le Phénix précise simplement au viking  ‘un slave !’. Le collier métallique cadenassé à son cou confirme sans ambigüité son statut. Le viking scrute a 360° l’espace qui s’offre à lui pour quelques heures de soumission mais avant même de pouvoir s’inquiéter du comportement à adopter, le Maitre l’invite à enfiler sa tenue de chantier, et surtout de se mettre totalement à l’aise car la journée va être chaude et longue, soit à la lumière près des petites tables de bistrot,  soit pudiquement dans la pénombre du coté des banquettes et des poufs confortables, …

Le viking demandant justement à satisfaire un rapide besoin biologique se fait immédiatement accompagné sur ordre du Phénix par son slave aux toilettes en sous-sol. Fort heureusement il n’entreprendra rien d’autre que de m’indiquer le chemin !

De retour sur scène, le viking, sous l’observation attentif du phénix malgré tout affairé à son chantier,

est  convié  à enfiler rapidement sa tenue sans aucun sous vêtement. Merde ! Ce n’était pas envisagé si spontanément  et notre viking  venu ‘dépravé’ en sous vêtements lardés de coups de cutter,  tente de négocier  l’autorisation de conserver momentanément son boxer sous la  combinaison intégrale en tissus bleu qui ouvre sur le devant par une double fermeture zippée allant des pieds au cou ; Permission accordée du Master malgré tout visiblement agacé ! Alors le viking comprend qu’il va falloir filer doux en enfilant ses grosses bottes de caoutchouc et sa paire de gants de manutention en cuir qui ravissent le Phénix : Ouf il  regagne son estime… mais lorsqu’il tente de peaufiner son anonymat avec une cagoule de tissus et des lunettes de sécurité sous son casque…le Maitre énervé de tout ce ‘cinéma’ intervient pour lui enfiler à la place un masque à gaz extrait du gros sac jonché au sol en déclarant :’ Tu voulais tester alors laisse faire,  ça va t’aller comme un gant!’.  Impassible au garde à vous devant le master,  il se laisse équiper tandis que les lanières de caoutchouc sévèrement sanglées commencent  à museler fortement les joues de notre soumis qui apprend a respirer avec la contrainte. Il  tente d’ajuster l’entrave faciale qu’il devra probablement conserver longtemps pendant que ses mains lui permettent encore cette liberté,  mais ses gesticulations font réagir le master qui monte le ton en le traitant de chochotte. Le viking comprend vite qu’il est tant d’éviter d’autre remontrance, et le master lui ordonne de s’allonger sur la table de bondage à 2 pas de son postérieur. Une fois allongé, le viking s’adapte à la gêne de sa respiration sous son masque et ne bouge plus. Il se détend progressivement pendant que des cordes viennent rapidement  s’enlacer autour de  ses bottes et  de ses cuisses, immobilisées sous la tension régulière du maitre qui utilise les nombreux points d’ancrage sur la périphérie de sa table de torture. La corde d’une longueur interminable continue à entraver notre soumis maintenant en travers de son bas ventre juste au dessus des ses pauvres attributs de male. Alors le Viking  craint un mauvais passage de cordes …  mais quelle stupidité, face à une compétence manifestement maitrisée de main de Maitre : Tel  un reptile imperturbable, la corde s’enlace en remontant progressivement sur tout le corps du soumis qui accompagne chaque serrage d’un soupir d’approbation bien inutile au vu de la bosse forte visible sous sa combinaison. Chaque bras est alors immobilisé le long du corps avec les 2  extrémités de cette interminable corde qui  se croisent maintenant sur son torse avant de passer dans les anneaux de la table,  puis de revenir à nouveau plaquer le corps du Viking en contact avec la table. Le reste des 2 longueurs passera dans l’anneau du large collier de cuir entravant son cou, avant de repartir de part et d’autre sur les bords de la table, pour arrimer définitivement le tout sans ambigüité à la table. Les cordes se croisent une dernière fois encore sur le collier avant d’être tendues au sommet de sa tête pour la solidariser

complétement au support.

Notre soumis maintenant prisonnier de la tête aux pieds, obtient rapidement la confirmation d’une totale impuissance, en cherchant vainement la moindre faille de son bondeur. Le masque à gaz auquel il a fini par s’habituer lui comprime toujours le visage mais il en a pris son parti pour avoir exprimé si clairement avant la rencontre l’envie d’essayer.

Plus personne ne se préoccupe de lui. Et tandis que les lumières s’éteignent et se rallument  de façon irrégulière, la condensation provoquée par sa respiration rend progressivement l’observation impossible au travers de la vitre de son masque.Par cet isolement progressif inattendu le viking  savoure encore davantage de plaisir à cette captivité tant convoité. Il en bande en silence, abandonné et  saucissonné pour des  dizaines de minutes interminables! 

Mais ce n’est qu’un début soft !  Le premier plan d’une série savoureuse  que j’ai ordre de vous révéler dans les prochaines heures